mercredi 26 juin 2013

Off With Their Heads - Home (2013)

Pays : USA
Genre : punk-rock mélo'
Membres : Ryan Young (guitar, vocals) ; Justin Francis (drums) ; Rob Swartwood (bass) ; Zack Gontard (guitar)
Site : label, facebook

Erreur énorme de ma part : je n'avais jamais écouté Off With Their Heads. Oui, c'est honteux et je m'en rends très bien compte en écoutant le tout dernier album des ricains, Home. Mais voilà qu'il m'arrive dans sa belle édition 12" avec le CD offert et donc aucune excuse pour ne pas écouter l'album en boucle autant à l'appart que dans la voiture. Et c'est vraiment super bien Off With Their Heads, je comprends pourquoi tout le monde en parle en bien.

Dès le départ ça démarre à fond les ballons et la tension ne redescend que très rarement, juste le temps d'une chanson "ballade" toute tristoune (la très jolie "Don't Make Me Go Home" qui vient parfaitement s'intégrer au milieu de l'album) et les tubes punk-rock mélo' s'enchaînent à toute vitesse et avec une facilité déconcertante. Très vite je remue la tête et commence à avoir dans la tête cette voix toute enraillée absolument parfaite pour le style. "Nightlife" est le tube parfait, celui qui reste même après éteint les enceintes. "Altar Boys" qui prouve bien que c'est grâce au chant si atypique du chanteur que la recette magique fonctionne... tout l'album est ce que j'appelle "un album qu'il est cro bien dans le style".

Ca ne révolutionnera pas le style mais ça fait toujours prendre un pied fou que d'écouter un album du style en 2013, toujours aussi bandant et avec cette petite touche rock qui s'incorpore parfaitement. Donc maintenant je sais de quel groupe je fais bouffer avec grande joie pendant les vacances... Home est un excellent album que je ne peux que vous conseiller avec un grand pouce pointé vers le ciel et un sourire large, presque flippant.

Pour les fans de : Dead To Me, The Lawrence Arms, Chixdiggit!, Smoke Or Fire, Hot Water Music...
Autres albums du groupe : à venir...



lundi 24 juin 2013

MyManMike - Will You Marry Me ? (2013)

Pays : Corée du Sud
Genre : fast-core/punk-hardcore
Membres : Sunwoon Kim (bass, vocals) ; Mathew Klein (guitar, vocals) ; JP Lejal (drums)
Site : bandcamp, je ne mets pas les labels car ils sont plus d'une dizaine à produire ce bien bel objet, ce serait plus long que la chronique, la flemme, pardon à eux, aux familles, tout ça...

"Dit tonton Vincent, tu peux nous parler de ton coup de coeur musical du moment ? hein ? allez, s'il te plaît, soit cool, balance du gros son, je veux thrasher comme un bâtard moi !". 

C'est à peu près le discours que je rêverai d'entendre sortir de mes petits cousins, histoire de les forger un peu à la musique qui fait saigner les oreilles plutôt que de les voir danser sur n'importe quelle bouse passant en boucle sur Youtube (génération 2.0, tout ça...). Et là je leur sortirai le bon 10 pouces sorti par ce groupe Sud Coréen (même si dedans on retrouve un coréen, un français et un américain, un joyeux bordel) qu'est MyManMike et leur mettrai le son à fond de Will You Marry Me ? histoire de leur apprendre la vie. Non mais oh.

Parce que MyManMike c'est surpuissant et que dès le début de l'album il ne perd pas de temps et ne fait pas de formalités : du fast-core/power-violence avec un chant anglais crié par un coréen bien aigu et agressif comme il faut et des chansons qui atteignent rarement les 2 minutes. Ca blast, ça gueule, ça te fait bouger la tête dans tous les sens et ça sent le truc bien surpuissant en live (d'ailleurs c'est essayé et approuvé en live, mangez en). Environ 15 minutes, une reprise de Punch en chanson cachée et vas y que je t'envoie tout dans la gueule, c'est cadeau, ça fait plaisir. C'est pas révolutionnaire mais la production est nickel, les textes bien engagés et les compos qui vont bien donc je lui donne 15 steaks au soja sur la note maximale de 3 saucisses végétales. Autrement dit : un album qu'il est très bien, achetez le, vite vite.

Pour les fans de : Strong As Ten, Coke Bust, Punch, Common Enemy, Crippled Fox...
Autres albums du groupe : à venir, j'espère...

lundi 17 juin 2013

Escarres - Pluméric (2008)

Pays : France
Genre : math-core/hardcore de fou furieux
Membres : Boris, Gaetan, JP, Mignon
Site : bandcamp

Sérieux, les gars de Escarres, je ne vous remercie pas. Innocemment je vais faire une recherche google pour trouver la pochette de l'album et... j'ai vomi. J'ai relancé la page. J'ai re-vomi. Je n'avais pas percuté du tout le rapport entre le nom du groupe et cette fameuse "lésion cutanée" ultra gore. Messieurs, c'est dégueulasse de votre part de me faire ça. Mais comme votre album il est bien comme il faut, je vous pardonne tout.

Pas de temps à perdre et trêves de blabla : Escarres joue un math-core de fou, fusant à 1 000 à l'heure et fonctionnant tel un rouleau compresseur de technicité et de violence. Tout en incrustant à tout ça un côté punk/crust bien sympa et un côté dérangé/dingue ultra présent autant dans les titres des chansons ("Barry Is White & Marvin Is Gay", "Nos Habits Sont Morts", "Bebop VS Rocksteady"...) que dans les cris et autres passages échappant à la logique qui sont jubilatoires. On passe de passages de blast à du gros hardcore pour enchaîner avec un gros riffs bien metal et un chant crié/gueulé du début à la fin... bref, du math-core sans le côté prétentieux de certains groupes, uniquement là pour foutre un bordel monstre. Et avec une facilité déconcertante.

Ca gueule, ça défouraille et envoie des compos folles qui vont vous faire remuer la tête dans tous les sens et vous fait hurler de plaisir si vous êtes fan du style. Moins de 30 minutes pour 12 morceaux, au moins ça fonce. A noter que l'objet en lui-même est très réussi, avec tout qui est bien illustré comme il faut et une plage CD-Rom avec du live et des clips disons... chelou. Mais c'est en rapport avec Escarres, donc ça passe. Ouais, carrément, foncez.

Pour les fans de : The Dillinger Escape Plan, Grand Predateur, Name, War From A Harlots Mouth...
Autres albums du groupe : à venir...

vendredi 14 juin 2013

Sutter Cane - Sous la Pierre et l'Asphodèle (2012)

Pays : France
Genre : screamo/post-hardcore anxiogène
Membres : Antoine L. (drums) ; Charly O. (bass) ; Alix L. (guitar) , Mickaël R. (guitar) ; Mickaël L. (vocals)
Site : bandcamp, label, label, facebook

Il n'y a pas si longtemps la scène locale normande et française en général était remplie de groupes de screamo. Qui plus est de grande qualité avec toute une génération qui a marqué et continue à inspirer : Amanda Woodward, Aussitôt Mort, Belle Epoque… si malheureusement beaucoup de ces groupes ont splitté, cela n'empêche pas de "petits nouveaux" à arriver et vouloir foutre un sacré bordel pour relancer la scène. C'est dans ce contexte qu'arrive Sutter Cane composés d'anciens des (excellents) Draft, Venosa et Alceste, les gloires locales pas si vieilles du screamo/post-hardcore. Après quelques concerts le groupe enregistre son premier album et c'est une bonne petite claque qui fait plaisir à attendre.

Déjà, car il faut en parler parce que ce n'est pas si courant, l'objet en lui-même est bien présenté : une enveloppe noir cachetée avec le nom du groupe qui renferme le CD dans sa pochette cartonnée avec les paroles sur un papier cartonné et les photos qui vont bien. Le tout est soigné et sent bon le D.I.Y. travaillé. Ensuite, musicalement, on est en face d'un post-hardcore sombre, anxiogène, dépressif et au chant grave lourd, enchaînant parfois avec un phrasé parlé pour encore plus marquer les passages plus lourds. Les compos durent plus de 7 minutes sans que cela ne soit poussif, bon point. Ici point de véritables envolées furieuses avec les instruments et la voix qui se déchaînent, non, on reste dans quelque chose de fondamentalement lourd et mettant mal à l'aise. Le chant français renforce encore ce sentiment, chaque parole étant sans cesse appuyée, tel un coup de marteau sur notre crâne.

Premier album et première réussite pour le groupe rouennais, même si je ne suis pas forcément un grand fan de ce style, peut-être top lent pour moi. Il n'empêche que tout est finement travaillé et que la musique de ces gars est faite avant tout pour nous exploser en live. La prod' peut-être un poil trop faible ne rend pas forcément justice à toute la lourdeur du groupe mais ce n'est pas bien grave. Sous La Pierre et l'Asphodèle ne laisse pas indifférent et c'est là sa première qualité. Donc foncer l'écouter et aller voir le groupe en live histoire de les pousser à nous pondre une suite, merci d'avance.

Pour les fans de : Amanda Woodward, General Lee, Draft, Cortez...
Autres albums du groupe : à venir...

lundi 10 juin 2013

Bad Astronaut - Twelve Smal Steps, One Giant Disappointment (2006)

Pays : USA
Genre : pop/punk/emo/électro/all-star band
Membres : Derrick Plourde (R.I.P.) (drums) ; Joey Cape (vocals, guitar, bass and percussion) ; Thom Flowers (guitar, banjo and mandolin) ; Marko 72 (bass and guitar) ; Todd Capps (keyboards and weird sounds) ; Angus Cooke (cello, bass, guitar, vocals and percussion) ; Jon Cox (loops and stuff)
Site : myspace, label, un n'article sur le groupe écrit par mes gros doigts

Je crois sincèrement qu'un album peut changer une vie. Oh, pas de façon radicale, non... je parle de quelque chose de beaucoup plus subtil, que l'on ne remarque pas immédiatement. Non parce que Bad Astronaut, dire que j'en suis fan et que ce groupe a changé ma vision de la musique, c'est un euphémisme géant, absurde. Bien sur que je suis un gros fan de tonton Joey. J'écoute en boucle depuis le collège la disco' de Lagwagon, ai toujours une ou deux chansons en acoustique sous la main du monsieur et m'émerveille à chaque pépites d'un de ses side-project Bad Astronaut... je suis un auditeur conquis d'avance. Surtout que le premier album du groupe, Houston, We Have A Drinking Problem, est culte au possible pour moi et m'a marqué à tout jamais. Alors comment faire suite à ce monstre d'émotions, comment sortir un album à la gestation difficile (4 ans d'enregistrement avec au milieu le suicide du batteur et meilleur ami du chanteur, Derrick Plourde) sans ne pas être attendu au tournant ? en fait on ne se pose pas la question, on écoute, on admire et on se laisse emporter dans l'ultime voyage des astronautes tristes...

Contrairement à ce que l'on peut penser et malgré la mort tragique de leur batteur, Bad Astronaut avait déjà enregistré toutes les parties de batterie et le titre de l'album, Twelve Small Steps, One Giant Disappointment, était déjà choisi depuis longtemps. Plutôt tragique et triste... tout comme on s'y attend avec leur musique, parfois anxiogène, souvent pleine d'émotions... et puis vient la première piste, "Good Morning Night". Morceau rythmé, petits sons électro' et chanson typée émo/punk plutôt joyeuse au final... je suis un peu désarçonné au départ, étant plus habitué à avoir les poils dressés à chaque écoute du groupe. Et puis le reste de l'album continue... le tout se fait plus mélancolique... plus posé... je pense à "Beat" et sa basse groovy, avec des petits "break" électrique bien amenés... tout est étrangement familier, accueillant... on attend à tout moment l'overdose d'émotions comme c'était le cas sur le précédent album... l'album défile, on passe un bon moment, certes, mais pas celui que l'on attendait... et puis vient de petites pépites que l'on attend pas, comme "One Giant Disappointment" et le retour de la "pâte" Bad Astronaut avec ces relents émo-punk charmants... et puis vient la pépite ultime : "Minus". Aussi simple qu'efficace, aussi sublime qui te prenant ton cœur pour te le mâchouiller et te tirer des larmes sans t'y attendre. C'est là la vraie force de Joey Cape : on peut dire qu'il chante faux (je peux comprendre) mais jamais il ne se force, sa voix reste naturelle et il sait trouver L'ACCORD de guitare et la voix qui va avec pour te filer des frissons... et il y arrive parfaitement l'enfoiré...

Tout le reste de l'album est de ce niveau : moins percutant que le précédent opus mais tout aussi diabolique et passionnant à disséquer au fil des écoutes. "San Fransisco Serenade" est magnifique, "Go Humans" est la plus "punk" tout en étant la plus alarmiste au niveau des paroles et du message véhiculé, "Autocare" et le retour du syndrome B-Side de Lagwagon (vraiment cool à écouter), "Violet" qui est à la base une chanson solo de Joey Cape et qui se trouve "magnifiée" tout en étant toujours toute simple... et puis vient le moment de grâce avec "The "F" Word", s'étalant sur 8 minutes... rien à dire, on écoute, on savoure le talent de ces gars. Une fin toute en tristesse avec "The Thirteenth Step" et hop, l'album est déjà passé. Au début on sait que l'on a écouté un bon album mais on bloque toujours... Houston est encore dans l'esprit, difficile de ne pas penser à autre chose... et les écoutes défilent... défilent... j'accroche de plus en plus, m'amuse à découvrir de nouvelles choses et me passe toujours en boucle "Minus"... c'est à cause de chansons comme celle-là que je tombe amoureux de la musique. Oui, je sais, je suis beaucoup trop fan... mais très franchement, Twelve Small Steps, One Giant Disappointment est un monument du style. Pas de mélodies ou de compositions ultra complexes. Juste des gars bourrés de talent. Et ayant trouvé le petit "truc" pour te faire voyager par le biais de la musique... et un hommage parfait à son défunt batteur qui aura marqué toute la scène punk-rock américaine et permis à de nombreux groupes de se former (on parle du gars ayant joué dans Lagwagon ou Mad Caddies entre autre).

Pour les fans de : Joey Cape, The Robocop Kraus, The Playing Favorites, Lagwagon...
Autres albums du groupe : Houston, We Have A Drinking Problem, à venir...





mercredi 5 juin 2013

Split Misery Index & Commit Suicide (2002)

Pays : USA
Genre : deaht-metal/grindcore
Membres : Misery Index : Mike Harrison (guitar & vocals) ; Sparky Voyles (guitar) ; Jason Netherton (bass & vocals) ; Kevin Talley (drums)
Commit Suicide : Scott (vocals) ; Neal (guitar) ; Lee (drums) ; Damian (guitar) ; Dan (bass)
Site : facebook Misery, une chaîne tutube avec plein de chansons pour Commit Suicide, label

A la base je ne suis pas super rassuré à l'idée de faire cette chronique. Tout ça à cause d'un détail ultra con : les pistes indiquées à l'arrière du CD sont inversées par rapport à celles sur le CD. En fait, on devrait plutôt dire "Commit Suicide & Misery Index". Oui, je sais, c'est complétement ouf mais que voulez-vous... vous vous doutez bien qu'avec un split album avec deux groupes de grindcore, je ne vais pas causer très longtemps. D'un côté nous avons donc Commit Suicide avec son chant tout en vomi et du blast en veux tu en voilà, dans la plus grande tradition du style. De la technicité par ci quand même, il faut pas déconner et deux compos aussi brève qu'efficaces. Une cover de "Open Basket" de Death et hop, on passe aux petits nouveaux de Misery Index.

Keuwa, les petits nouveaux de Misery Index ? bah oui, en 2002, il s'agit de l'une de leur première production. Si maintenant on les classe facilement parmi les références du style, c'est qu'il y a de bonnes raisons. En effet, dès leurs débuts on retrouve tout ce qu'on aime mais à un niveau "des débuts" : le chant est encore un peu hésitant et la prod' plutôt "faible" empêche de s'en prendre plein la tronche comme on en a l'habitude maintenant. M'enfin ça reste quand même du grindcore de qualitay, avec aussi deux compos plus une cover ("Reality Distortion" de Disrupt), emballez c'est pesé, c'est dans la tronche, c'est cadedau.

Moins de 18 minutes de durée, 4 compos originales plus 2 cover, c'est typiquement le genre de petit EP sans prétention qui fait quand même bien mal. A réserver aux fans cependant car depuis les groupes ont quand même produit beaucoup mieux...

Pour les fans de : Nasum, Napalm Death, Death, Mumakil, Blockheads...
Autres albums des groupes : à venir...



lundi 3 juin 2013

The Bronx - The Bronx (II) (2006)

Pays : USA
Genre : hardcore'n roll déjà culte
Membres : Matt Caughthran (vocals) ; Joby J. Ford (guitar, backups) ; James Tweedy (bass, backups) ; Jorma Vik (drums, backups)
Site : groupe, label

The Bronx s'en bas les couilles de tout. Leur premier album ? hop, album éponyme. Le second ? toujours éponyme. Le groupe nous a prévenu : tous leurs albums s’appelleront comme ça, parce que c'est plus simple et qu'on ne perd pas de temps. D'ailleurs ils décident de sortir leur album sur une major. Ca gueule, ça traite le groupe de vendus... ils s'en foutent. Ce qui les intéresse c'est de faire cracher leurs amplis et te vomir un hardcore/punk teinté de beaucoup de rock pour te faire remuer un maximum et te montrer pourquoi on parle aussi souvent d'eux en bien. Car The Bronx, c'est avant tout une putain de machine à tubes.

Passé l'intro' aux sons et voix "mystiques" pour rester en accord avec la (jolie) pochette et la seconde piste totalement folle et purement hardcore de moins d'une minute, le groupe passe aux choses sérieuses et commence à envoyer les gros riffs des familles et de la rythmique rock'n roll. Basse qui groove, guitare et batterie qui tape et le gros point fort du groupe qui saute direct aux oreilles : la voix du frontman, d'une puissance purement hardcore, qui ici sait aussi se faire plus mélodique selon la chanson. Car c'est aussi la particularité du son des ricains : outres les grosses compos bien lourdes et dansantes, on passe aussi à du mid-tempo purement rock à la ballade qui ne fait pas tâche et vient un peu aérer l'album. "Around The Horn" semble ainsi tirée d'un groupe de rock/stoner avec la classe qui avec, tout comme l'entêtante "Dirty Leaves" ou le final tout en "simplicité" avec "White Guilt". Si ces quelques passages plus calmes surprennent, ils sont parfaitement bien amenés, donnant déjà une idée de la direction musicale que le groupe prendra au fil de ses prochains albums.

Parfait mélange entre gros passages de folie furieuse ("History's Stranglers" bandante à souhait, "Mouth Money" qui semble être du Queen Of The Stone Age...) et passage plus calmes, plus posés, avec toujours ce côté rock/stoner qui nous fait remuer en permanence la tête, The Bronx II te prend par l'épaule et te pousse à headbanger en rythme tout en bougeant partout dans ton appart. Et rien que pour écouter boucle "History's Stranglers" et cette voix de fou avec cette rythmique aussi simple qu'efficace... foncez si ce n'est pas déjà fait depuis longtemps.

Pour les fans de : Gallows, The Ghost Of A Thousand, John Coffey...
Autres albums du groupe : The Bronx (IV), à venir...